NILS FRAHM à la Salle Pleyel (Paris – Novembre 2022)

FR

Connaissez-vous Nils Frahm ? Ce récent quarantenaire, pianiste, compositeur et producteur allemand, souvent qualifié de virtuose, est encore assez méconnu du grand public mais jouit d’une solide reconnaissance dans le milieu électro de par son univers musical terriblement élaboré et singulier. Une musique expérimentale mélangeant le classique et l’électronique.

Commencé en juin, en Australie, au Sydney Opera House, sa tournée internationale intitulée Music For se poursuit depuis septembre, en Europe et c’est un véritable succès. Ainsi à Paris, une date a été ajoutée pour mon plus grand bonheur (sinon je n’aurai pas pu le voir). Initialement prévu sur un seul soir, le samedi 26 novembre, me voici à la Salle Pleyel ce dimanche 27 pour l’écouter. Absent de la scène depuis 2019, c’est avec une certaine excitation et beaucoup de curiosité que je m’apprête à découvrir son travail.

Quelle installation ! Pas moins de 9 claviers : piano classique et électrique, synthétiseurs, et autres claviers, machines… répartis sur deux espaces côte à côte, je me demande bien ce qui nous attend… Nils arrive sur scène en courant, salue son public avec son béret et s’installe sur un premier clavier. Voilà que commence une douce et tranquille composition. L’entrée en matière ne préfigurera pas le reste du concert, ou disons pas complètement. Ce soir, on voyage ! D’une mélodie minimaliste au piano, à des sonorités diverses et variées, le temps s’étire (ou pas), notre oreille explore, en même temps que notre esprit s’envole. Voilà pêle-mêle de quoi est fait l’œuvre de Nils : de douces rêveries, de ruptures de rythme, de progression « crescendo », de méditation, d’une forme de névrose, d’ambiance envoutante, de contemplation, d’expérimentation sonore,… C’est finalement assez indescriptible, cette immersion se vit confortablement assis dans cette merveilleuse salle Pleyel à l’identité si forte, parfaitement mise en valeur par son volume et les jeux de lumière qui éclairent les différents instruments.

Le compositeur à l’aise avec son public, le fera participer à son univers créatif en l’invitant à imiter le cri des animaux, faisant ainsi écho à son dernier album Music For Animals. Le public, joueur, s’amuse, moi y compris :)), à reproduire chien, oiseau … outre ce vent de liberté, cette envie folle de casser les frontières, son final démontre encore une fois le talent de ce pianiste avec un sens de la vitesse et de l’accélération, et du toucher au résultat incroyable sur son clavier classique. Une standing ovation pour un rappel, Nils a conquis ses fans et s’en est fait de nouveaux, moi par exemple. 😉

EN

Do you know Nils Frahm? This recent forty-year-old German pianist, composer and producer, often described as a virtuoso, is still relatively unknown to the general public but enjoys solid recognition in the electronic world thanks to his terribly elaborate and singular musical universe. Experimental music mixing classical and electronic.

Started in June, in Australia, at the Sydney Opera House, his international tour entitled Music For has been going on since September, in Europe and it is a real success. So in Paris, a date has been added for my greatest happiness (otherwise I wouldn’t have been able to see it). Initially planned for a single evening, Saturday November 26, here I am at Salle Pleyel this Sunday 27 to listen to it. Absent from the scene since 2019, it is with a certain excitement and a lot of curiosity that I am about to discover his work.

What a setup! No less than 9 keyboards: classical and electric piano, synthesizers, and other keyboards, machines… spread over two spaces side by side, I wonder what awaits us… Nils arrives on stage running, greets his audience with his beret and settles on a first keyboard. Here begins a soft and quiet composition. The introduction will not prefigure the rest of the concert, or let’s say not completely. Tonight we travel! From a minimalist melody on the piano, to various and varied sounds, time stretches (or not), our ear explores, at the same time as our mind soars. This is a jumble of what Nils’ work is made of: sweet daydreams, breaks in rhythm, « crescendo » progression, meditation, a form of neurosis, bewitching atmosphere, contemplation, experimentation sound,… It’s ultimately quite indescribable, this immersion is experienced comfortably seated in this wonderful Pleyel room with such a strong identity, perfectly highlighted by its volume and the play of light that illuminates the different instruments.

The composer, at ease with his audience, will make them participate in his creative universe by inviting them to imitate the cries of animals, thus echoing his latest album Music For Animals. The public, player, have fun, including me :)), to reproduce dog, bird … in addition to this wind of freedom, this mad desire to break the borders, his finale once again demonstrates the talent of this pianist with a sense of speed and acceleration, and incredible touch on his classic keyboard. A standing ovation for an encore, Nils won over his fans and made new ones, me for example. 😉

DREAM NATION

FR

Dream Nation est « the » festival électro de la rentrée en France. Pour cette édition 2022, c’est une première pour moi. Le jour J, l’adrénaline est à son plus haut, une fête monstrueuse m’attend !

J’ai déjà assisté à pas mal de festivals, celui-ci constitue une nouvelle expérience. Déjà rien que pour les horaires : les sets commencent en effet à 20h et se terminent à 6h du matin. J’y passerai donc une partie de la nuit. Aller au Dream Nation, c’est un peu comme aller en boite ! Mais on ne sera pas enfermé. On sera en open air sur le tarmac de l’aéroport du Bourget, un site brut et industriel (on aperçoit au loin des avions et autres engins aéronautiques comme la fusée Ariane), pas d’arbres, pas de terres, pas de pelouses, mais un bon macadam, on ne « mangera » pas la poussière (comme dans un festival classique), point appréciable ;-).

L’entrée est « un peu » en goulet d’étranglement (sauf pour les VIP), contrôle oblige, mais une fois passée, un espace qui semble gigantesque s’ouvre à nous. On y trouve 3 scènes et un espace « Chill out » avec des transats, des palettes, et de grandes tables avec bancs (détente, repos, restauration), différents stands bars (bières, boissons énergisantes, hard), food, maquillage, textile, auto-tamponneuses, les WC,… sur les bords. La circulation est fluide et on a de la place pour danser ou se poser tranquillement.

Parlons maintenant du festival en lui-même. A mon arrivée sur les lieux, je suis resté pantois par la première scène, pas par sa dimension relativement modeste mais par sa scénographie avant-gardiste avec son mapping 3D. Les effets sont réussis, comme sur les 2 autres scènes beaucoup plus grandes avec une mention spéciale pour celle du milieu où l’ambiance y sera la plus déchaînée. La line-up présente pas moins de 60 artistes, avec la diversité et l’éclectisme du courant électronique underground. On n’est pas dans le « grand public commercial » mais plutôt dans celui de jeunes connaisseurs avertis.
Le vendredi est dédié à la techno, techno industrial et hard music, avec des artistes comme Sub Zero Project, Vitalic, Angerfist, VII Circle ; le samedi à la trance, bass music, dub et techno hard avec des artistes comme Pendulum, Astrix, Mandragora, Somniac one. J’ai bien aimé Vitalic, la valeur sûre française, efficace et rythmée, Angerfist le DJ néerlandais masqué pour son univers et l’ambiance de feu qu’il a mise, Sub Zero Project et ses reprises/remix de morceaux d’anthologie, et enfin Astrix et son univers psychédélique. J’ai navigué entre les scènes pour entendre voire découvrir le maximum d’artistes.

Le son a été « propre », avec une bonne ambiance, « secure ». Des déguisements lumineux, des créatures et performances aussi bien dans le public que sur scène. Une scénographie lumière au top. Des danses endiablées et énergiques. Bref, les « dreamers » (ou festivaliers) se sont éclatés, tout comme moi !
En résumé, une belle expérience que je renouvellerai certainement l’année prochaine 😉

EN

Dream Nation is « the » back-to-school electro festival in France. For this 2022 edition, this is a first for me. D-Day, the adrenaline is at its highest, a monstrous party awaits me!

I have already attended quite a few festivals, this one is a new experience. Already just for the schedules: the sets indeed start at 8 p.m. and end at 6 a.m. So I will spend part of the night there. Going to Dream Nation is a bit like going clubbing! But we won’t be locked up. We will be in the open air on the tarmac of Le Bourget airport, a raw and industrial site (we can see planes and other aeronautical devices like the Ariane rocket in the distance), no trees, no land, no lawns, but a good macadam, we won’t « eat » the dust (like in a classic festival), not appreciable ;-).

The entrance is « a bit » bottlenecked (except for VIPs), control obliges, but once passed, a space which seems gigantic opens up to us. There are 3 stages and a « Chill out » area with deckchairs, pallets, and large tables with benches (relaxation, rest, catering), various bar stands (beers, energy drinks, hard), food, make-up, textiles , bumper cars, toilets,… on the edges. Traffic is fluid and there is room to dance or rest quietly.

Now let’s talk about the festival itself. When I arrived on the scene, I was stunned by the first stage, not by its relatively modest size but by its avant-garde scenography with its 3D mapping. The effects are successful, as on the 2 other much larger stages with a special mention for the one in the middle where the atmosphere will be the wildest. The line-up presents no less than 60 artists, with the diversity and eclecticism of the underground electronic movement. We are not in the « general commercial public » but rather in that of young informed connoisseurs.
Friday is dedicated to techno, techno industrial and hard music, with artists like Sub Zero Project, Vitalic, Angerfist, VII Circle; on Saturday to trance, bass music, dub and hard techno with artists like Pendulum, Astrix, Mandragora, Somniac one. I really liked Vitalic, the French safe bet, efficient and rhythmic, Angerfist the masked Dutch DJ for his universe and the fiery atmosphere he created, Sub Zero Project and his covers/remixes of anthology pieces, and finally Astrix and its psychedelic universe. I sailed between the scenes to hear or even discover the maximum number of artists.

The sound was « clean », with a good atmosphere, « secure ». Luminous disguises, creatures and performances both in the audience and on stage. A light scenography at the top. Wild and energetic dances.
In short, the « dreamers » (or festival-goers) had a blast, just like me! In summary, a great experience that I will certainly repeat next year 😉

ELEKTRIC PARK 2022 (EPK 2022)


FR

Retour sur l’événement électro du week-end : l’Elektric Park Festival ou EPK.

Bien qu’il s’agisse de la 12ème édition, j’assiste pour la première fois à ce rendez-vous incontournable pour tous les aficionados de Psy Trance, Dub Techno, Deep House, Frenchcore et Hardtek, Hardcore et j’en passe… Eh oui, l’étendue de cette musique est vaste et l’EPK compte bien mettre en avant cette diversité ! Au programme, des têtes d’affiches qui parlent aux plus anciens (dont je fais partie 😉 ) comme Joachim Garraud, Martin Solveig, Etienne De Crécy, Boombass mais aussi la relève avec Bakermat, Sefa, Hysta.

Arrivé à la station RER de Chatou-Croissy, en l’absence de signalétique particulière, j’ai suivi le mouvement des teufeurs et emprunté le pont de Chatou pour rejoindre l’île des Impressionnistes où l’événement se tient. 5 scènes se partagent ce site bucolique. Il est assez facile d’aller et venir de l’une à l’autre. On y trouve les traditionnels stands de nourriture avec un large choix (pizza, burger, pâtes, hotdog, bonbons, barbe à papa,…), des bars (bières, softs, redbull 😉 pour garder la pêche,…) mais aussi une friperie vintage, un vendeur de bobs/lunettes de soleil, des T-Shirt, du body-painting, des jeux d’arcade,… du saut à l’élastique et un manège à sensations fortes. Le public est plutôt jeune ce qui explique la typologie des stands.
L’ambiance est bon enfant et secure ( très loin de l’image véhiculée par les médias pour les musiques électroniques), décomplexée avec des looks improbables, bref relax cool. Contrairement aux festivals plus rock, parfois « statiques », les festivaliers prennent plaisir à lâcher leur portable et danser, d’autant plus qu’il y a de l’espace.

Les points forts de l’EPK :
– on s’ouvre à des sons et des rythmes qui se démarquent de la musique mainstream. L’ambiance festive, les jeux de lumières et les visuels diffusés sur des écrans font qu’on se laisse « entraîner » par cette belle énergie,
– l’amplitude horaire avec des sets qui commencent dès 11h et qui se finissent à une heure pas trop tardive, permettant de rentrer chez soi en transports en communs,
– la programmation pointue et de qualité, qui permet à chacun de trouver son bonheur,
– la proximité des artistes avec le public.

Les artistes justement, parlons-en. Je ne vais pas pouvoir parler de tout le monde (+ de 80 DJS présents) car déjà je ne les ai pas tous vus , je ne peux pas me démultiplier sur 5 scènes :-). Pour voir un maximum d’artistes, je dois naviguer entre les scènes et me contenter parfois seulement d’une partie des sets.
La tendance est au b2b voire b2b2b. Le b2b ou back to back est la collaboration de deux artistes sur un DJ SET. « Le terme est né du temps où, en soirée et en discothèque, les bacs à disques et les flight cases étaient souvent entreposées derrière le DJ, ce qui fait que lorsque l’un jouait et que l’autre se tournait pour fouiller les disques à disposition, ils se retrouvaient dos à dos » (source Greenroom).
Le samedi, sur la Red Stage, consacrée principalement à la musique hardcore ou s’en approchant, Le BASK b2b Vortek’s et MAD DOG b2b Amine ont mis le feu au public, ça pulse et ça danse frénétiquement. Sur la Black Stage, j’ai bien aimé Antonin, un DJ éclectique ; sur la Blue, Zomboy et son univers psychédélique. Sur la Yellow, la plus grande scène, Space 92 b2b Popof, Mr Oizo, Joachim Garraud, Avoriaz ont réalisé des sets de haut vol que j’ai particulièrement appréciés.
Le Dimanche, sur l’Orange Stage, Arnaud Rebotini égal à lui-même, la « force tranquille », a conquis le public. Sur la Purple Stage, j’ai découvert Hysta et sa musique hardcore. Sur la Black, Rezone et sa techno progressive m’ont fait passer un bon moment. Enfin sur la Yellow, Breakbot b2b Yulsek, Bakermat restent des valeurs sûres. Enfin un b2b2b, Boombass, Etienne De Crecy et DJ Falcon ont clôturé le festival à 21h30 dans une ambiance survoltée. On rêve déjà à l’année prochaine…:-)

+ de photos : EPK DAY et EPK NIGHT

EN

Back to the electro event of the weekend: the Electric Park Festival or EPK.

Although this is the 12th edition, I attend for the first time this unmissable event for all aficionados of Psy Trance, Dub Techno, Deep House, Frenchcore and Hardtek, Hardcore and so on. .. Yes, the scope of this music is vast and the EPK intends to highlight this diversity! On the program, headliners who speak to the oldest (including myself ;-)) such as Joachim Garraud, Martin Solveig, Etienne De Crécy, Boombass but also the next generation with Bakermat, Sefa, Hysta.

Arrived at the Chatou-Croissy RER station, in the absence of any particular signage, I followed the movement of partygoers and took the Chatou bridge to reach the island of the Impressionists where the event is being held. 5 scenes share this bucolic site. It is quite easy to go back and forth from one to the other. There are traditional food stalls with a wide choice (pizza, burger, pasta, hotdog, sweets, cotton candy, …), bars (beers, soft drinks, redbull 😉 to keep fishing, .. .) but also a vintage thrift store, a hats/sunglasses seller, T-Shirts, body-painting, arcade games,… bungee jumping and a thrill ride. The public is rather young, which explains the typology of the stands.
The atmosphere is good-natured and secure (very far from the image conveyed by the media for electronic music), uninhibited with improbable looks, in short, cool relaxation. Unlike more rock festivals, which are sometimes « static », festival-goers take pleasure in dropping their laptops and dancing, especially since there is space.

The strengths of the EPK:
– we open up to sounds and rhythms that stand out from mainstream music. The festive atmosphere, the play of lights and the visuals broadcast on screens make you let yourself be « carried away » by this beautiful energy,
– the time amplitude with sets starting at 11 a.m. and ending at a not too late hour, allowing you to go home by public transport,
– the sharp and quality programming, which allows everyone to find what they are looking for,
– the artists’ proximity to the public.

The artists precisely, let’s talk about it. I won’t be able to talk about everyone (more than 80 DJs present) because already I haven’t seen them all, I can’t multiply on 5 stages :-). To see as many artists as possible, I have to navigate between the stages and sometimes settle for only part of the sets. The trend is towards b2b or even b2b2b. The b2b or back to back is the collaboration of two artists on a DJ SET. « The term originated from the days when, in the evenings and in discotheques, record bins and flight cases were often stored behind the DJ, so that when one was playing and the other turned to search the discs available, they found themselves back to back » (source Greenroom).
On Saturday, on the Red Stage, devoted mainly to hardcore music or approaching it, Le BASK b2b Vortek’s and MAD DOG b2b Amine set the audience on fire, it pulsates and dances frantically. On the Black Stage, I really liked Antonin, an eclectic DJ; on Blue, Zomboy and his psychedelic universe. On the Yellow, the biggest stage, Space 92 b2b Popof, Mr Oizo, Joachim Garraud, Avoriaz performed high-level sets that I particularly appreciated.
On Sunday, on the Orange Stage, Arnaud Rebotini equal to himself, the « quiet force », conquered the public. On the Purple Stage, I discovered Hysta and its hardcore music. On the Black, Rezone and its progressive techno gave me a good time. Finally on the Yellow, Breakbot b2b Yulsek, Bakermat remain safe bets. Finally a b2b2b, Boombass, Etienne De Crecy and DJ Falcon closed the festival at 9:30 p.m. in a supercharged atmosphere. We are already dreaming about next year… 🙂

More pictures : EPK DAY and EPK NIGHT






NEANTICØNES

Neanticønes est un artiste autodidacte de la scène parisienne électronique émergente. J’aime ce nouveau son électro pop rafraichissant.
Je vous présente donc le premier single de son prochain EP (disponible à partir du 17 décembre 2020), « Female », qui fait honneur à la femme, incarnée par sa soeur à la voix : https://www.youtube.com/watch?v=4zStgIuBXtA

Biographie by Divine, son équipe de management. https://www.divine-musique.com/

« Neanticønes, producteur, auteur, compositeur et instrumentiste est un artiste polyvalent qui ne cesse de se révéler et de se diversifier.Ayant fait son entrée dans le monde de la musique via la production d’oeuvre électronique, Neanticønes a dans un premier temps été amené à collaborer avec des partenaires comme Profil de Face, Crosswalk ou encore Believe. Il a également eu l’opportunité de mixer dans différents club en France comme à l’échelle internationale (notamment en Amérique du Nord). Ces experiences lui ont permis de se construire artistiquement au coeur de la scene parisienne émergente.De par ses envies mais aussi ses rencontres, Neanticønes est allé au delà de la sphere musique électronique et s’est mis à produire différents styles musicaux. Il a notamment été amené à collaborer avec des artistes tel que Lomepal, Yassine Stein ou bien encore 2TH, mais également collaborer avec des enseignes comme Givenchy ou encore Joawé. De nombreux autres projets impliquant Neanticønes sont amenés à sortir au courant 2020.Cette fin d’année sera également pour lui l’occasion de renouer avec la musique électronique et d’y mêler ces différentes influences nouvellement explorées au travers d’un nouvel EP annoncé pour décembre 2020. »

Mise à jour du 09/01/2021 avec un second single « THE GAME » :

https://www.youtube.com/watch?v=yzUme2AxvWU&feature=youtu.be

EN

Neanticønes is a self-taught artist of the emerging Parisian electronic scene. I love this refreshing new electro pop sound. I therefore present to you the first single from her next EP (available from December 17, 2020), « Female », which does honor to the woman, embodied by her sister in the voice:

https://www.youtube.com/watch?v =4zStgIuBXtA

Biography by Divine, her management team. https://www.divine-musique.com/

« Neanticønes, producer, author, composer and instrumentalist is a versatile artist who continues to reveal himself and diversify. Having entered the world of music through the production of electronic works, Neanticønes was initially brought to collaborate with partners like Profil de Face, Crosswalk or Believe. He also had the opportunity to mix in different clubs in France and internationally (especially in North America). These experiences allowed him to build himself artistically in the heart of the emerging Parisian scene. Through his desires but also his encounters, Neanticønes went beyond the electronic music sphere and began to produce different musical styles. He has notably worked with artists such as Lomepal, Yassine Stein or even 2TH, but also collaborated with brands such as Givenchy or Joawé. Many other projects involving Neanticønes are due to be released in the course of 2020.This end of the year will also be an opportunity for him to reconnect with electronic music and to mix these various newly explored influences through a new EP announced. for December 2020.

 » Update 09/01/2021 with a second single « THE GAME »:

https://www.youtube.com/watch?v=yzUme2AxvWU&feature=youtu.be

HENRI PFR

FR

HENRI PFR en concert aux Etoiles à Paris le samedi 5 mai 2018, adrienout y était pour découvrir ce jeune artiste bien sympathique.

Qui est HENRI PFR ?

Henri PFR, né Henri Peiffer le 26 septembre 1995 (« nonante-cinq ») à Bruxelles, est un DJ, musicien et compositeur belge. Il a étudié la musique et le solfège dès l’âge de 6 ans. Il s’intéresse à l’électro dès 14 ans. En 2013, il plaque ses études en Economie (qui n’auront duré que 3 mois) pour se consacrer entièrement à la musique. Il se fait repérer sur youtube avec sa première mix-tape « Summer Memories » et attire l’attention du label Armada d’Armin Van Buuren, avec qui il signera deux singles. Il collabore aussi des grands de l’électro avec notamment Robin Schulz en remixant « Sugar ». Mais c’est en 2016 que l’artiste explose avec Until The End, single qui occupera pendant plusieurs mois la tête des charts belges et sera certifié disque de platine en Belgique. Sa carrière est lancée. En janvier 2017, il reçoit le prix de la révélation Pure (radio belge) aux D6bels Music Awards. En mars 2017, il affiche complet à la mythique salle bruxelloise « Ancienne Belgique ». Il sera ensuite à l’affiche de grands festivals, Ultra Music Festival à Miami, Tomorrowland en Belgique, Lollapalooza à Paris,…Sa notoriété devient mondiale. Et les récompenses continuent à « tomber ».

Au-delà de son talent, Henri PFR est un artiste attachant. Toujours un grand sourire aux lèvres, sa bonne humeur est communicative. C’est un bosseur et un vrai musicien qui peut s’intéresser aussi bien à Lost Frequencies qu’à Edith Piaf. Il véhicule aussi une image saine. Sur scène, il est simple et humble, il fait plaisir à voir, dynamique et entraînant. Pour lui, être DJ, c’est « Faire son Art et savoir le vendre ».

Un grand merci à Henri PFR pour ce concert réussi. Adrienout te souhaite une grande carrière :-).

Henri PFR aux Etoiles Until the End

HENRI PFR aux Etoiles

EN

HENRI PFR in concert at Les Etoiles in Paris on Saturday, May 5, 2018, adrienout was there to discover this young very nice artist.
Who is HENRI PFR?
Henri PFR, born Henri Peiffer on September 26, 1995 (« ninety-five ») in Brussels, is a Belgian DJ, musician and composer. He studied music and solfege from the age of 6. He is interested in electro from 14 years old. In 2013, he enrolled his studies in Economics (which lasted only 3 months) to devote himself entirely to music. He is spotted on youtube with his first mix-tape « Summer Memories » and attracts the attention of Armada label Armin Van Buuren, with whom he will sign two singles. He also collaborates with electro greats including Robin Schulz remixing « Sugar ». But it is in 2016 that the artist explodes with Until The End, single that will occupy for several months the head of the Belgian charts and will be certified platinum in Belgium. His career is launched. In January 2017, he received the Pure Revelation Award (Belgian radio) at the D6bels Music Awards. In March 2017, it will be sold out at the legendary Brussels « Ancienne Belgique ». He will then be on the big festivals, Ultra Music Festival in Miami, Tomorrowland in Belgium, Lollapalooza in Paris, … His fame becomes global. And the rewards continue to « fall ».
Beyond his talent, Henri PFR is an endearing artist. Always a big smile on his lips, his good mood is communicative. He is a hard worker and a true musician who can be interested in Lost Frequencies as well as Edith Piaf. It also conveys a healthy image. On stage, he is simple and humble, he is happy to see, dynamic and lively. For him, to be a DJ is to « make his art and know how to sell it ».
Many thanks to Henri PFR for this successful concert. Adrienout wishes you a great career :-).